De todo um filme mau, há sempre alguns momentos engraçados. Uma paródia à Britney Spears:
segunda-feira, 24 de março de 2008
terça-feira, 18 de março de 2008
Ai!
Bem, hoje conseguiram-me pôr com aquela irritação no final da espinha, em que os olhos ficam mais saídos que nunca e os dentes todos lascados!
Tava muito bem no metro, sossegado sem fazer mal a ninguém nem a Deus, quando se senta uma besta à minha frente... sim não tem outro nome... uma Besta. Isto porquê? Fácil! Todas as pessoas que estavam naquela carruagem conseguiam ouvir o estridente barulho que ela fazia a mascar as pastilha! Mascar? Desculpem... a massacrar, assasinar, espancar a pastilha. A dada altura eu já não sabia se o barulho que ela fazia saír da sua boca era a pastilha a implorar por socorro ou se o maxilar da senhora a partir-se.
Para vos dar uma ideia de quão estridente e sonoro era o barulho, posso-vos dizer que estava de phones nos ouvidos e que o metro estava em andamento.
Mais grave ainda foi o facto de ter uma aliança... quem foi a pobre creatura que lhe foi pedir em casamento? Há malucos para tudo mesmo!
De certo que muita gente percebe a minha irritação, as que não percebem, passem a mastigar pastilhas de boca fechada!
Tava muito bem no metro, sossegado sem fazer mal a ninguém nem a Deus, quando se senta uma besta à minha frente... sim não tem outro nome... uma Besta. Isto porquê? Fácil! Todas as pessoas que estavam naquela carruagem conseguiam ouvir o estridente barulho que ela fazia a mascar as pastilha! Mascar? Desculpem... a massacrar, assasinar, espancar a pastilha. A dada altura eu já não sabia se o barulho que ela fazia saír da sua boca era a pastilha a implorar por socorro ou se o maxilar da senhora a partir-se.
Para vos dar uma ideia de quão estridente e sonoro era o barulho, posso-vos dizer que estava de phones nos ouvidos e que o metro estava em andamento.
Mais grave ainda foi o facto de ter uma aliança... quem foi a pobre creatura que lhe foi pedir em casamento? Há malucos para tudo mesmo!
De certo que muita gente percebe a minha irritação, as que não percebem, passem a mastigar pastilhas de boca fechada!
sábado, 8 de março de 2008
Ferme tes yeux et imagine tois- Soprano ft. Blacko
Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine-toi
Tu verras comme ta vie est belle
Soprano :
Ferme tes yeux et imagine ta vie
Dans ces pays où les hommes politiques sont en tréhis
Où la liberté d’expression est une conspiration
Où le dollar civilise avec des canons
Où on peut mourir d’une simple fiévre
Où les épidemies se proménent sans laisse
Crois-tu vrément tenir sous la canicule
De ces pays où pendant 2 mois tu bronzes
Eux toute l’année ils brulent
Imagine ta vie sans eau potable
Une douche les jours de pluie
Pas d’bouffe mise sur la table
Imagine toi dans un hôpital
Avec une maladie incurable
Une maladie qui t’juges coupable
Imagine toi enfermé comme Natasha Kampusch
Ou brulé comme Mama Galledou dans l’bus
Ouvre les yeux maintenant
Et avant d’insulter la vie, réfléchit dorénavent
Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
Tu verras comme ta vie est belle
Blacko :
Ferme les yeux et imagines-toi quelque part en Afrique
Dans un village bati de terre sous un soleil de plomb
Imagine l’air chaud et lourd, cet étendu désertique
Ce maigre troupeau de chévre ( ???un gamin et son baton ???)
Imagine cette longue marche que tu dois accomplir
Afin que tes bêtes puissent paître et se rafraichir
Ces 30 bornes à faire, ces voleurs de betails et leurs kalachnikovs qui tirent sans réflechir
Imagine Madagascar et ses montagnes d’ordures
Imagine tes 8 ans et tes pieds sans chaussures
Imagine tes mains dans les détritus
Pour un bout de pain mais tu t’y habitues
Imagine Paris et son péripherique
Quelque part sous un pont pas loin du trafic
Imagine toi sous un duvet salle
Luttant contre le froid, luttant contre la dalle
Maintenant imagines-toi, dans ta voiture, bloqué dans les embouteillages
L’homme sort lentement de sa couverture, l’homme a ton visage
Dis-moi ce que tu ressens, le regardes-tu autrement ?
Avant d’insulter la vie réfléchit dorénavent
Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
Tu verras comme ta vie est belle
Soprano :
Karl, imagine toi sans la musique, la santé abimée par les 3-8
Les allés-retour aux ASSEDIC
Blacko :
Saïd imagine toi sans cette réussite, en galère, juste le SMIC
Prisonnier de cette tour de brique
Soprano :
Moi j’ai quoi sans Snip’a
Moi sans psy4 et ces bons moments qu’d’autres ne connaissent pas
Blacko :
Imagine un peu nos vies sans tout ça
C'est pour ça, remercions Dieu pour tout ça
Pardon pour les jours où j'me plains
Les jours où je ne vois que moi, mon nez et pas plus loin
Soprano :
Pardon pour toutes ces fois où j'ai grossi mes problèmes
Pour toutes ces fois où j'ai fais tourner le monde sur moi même
Blacko :
Ferme tes yeux juste une seconde
Vois la misère du monde
Et ta place dans tous ça
Soprano :
Prenons conscience de la chance qu'on a
Et tu verras peut être que la vie est belle
Blacko : Blackoooo , Sopranooooo
Refrain (Blacko) (X2) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
(Soprano)Tu verras comme ta vie est belle
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine-toi
Tu verras comme ta vie est belle
Soprano :
Ferme tes yeux et imagine ta vie
Dans ces pays où les hommes politiques sont en tréhis
Où la liberté d’expression est une conspiration
Où le dollar civilise avec des canons
Où on peut mourir d’une simple fiévre
Où les épidemies se proménent sans laisse
Crois-tu vrément tenir sous la canicule
De ces pays où pendant 2 mois tu bronzes
Eux toute l’année ils brulent
Imagine ta vie sans eau potable
Une douche les jours de pluie
Pas d’bouffe mise sur la table
Imagine toi dans un hôpital
Avec une maladie incurable
Une maladie qui t’juges coupable
Imagine toi enfermé comme Natasha Kampusch
Ou brulé comme Mama Galledou dans l’bus
Ouvre les yeux maintenant
Et avant d’insulter la vie, réfléchit dorénavent
Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
Tu verras comme ta vie est belle
Blacko :
Ferme les yeux et imagines-toi quelque part en Afrique
Dans un village bati de terre sous un soleil de plomb
Imagine l’air chaud et lourd, cet étendu désertique
Ce maigre troupeau de chévre ( ???un gamin et son baton ???)
Imagine cette longue marche que tu dois accomplir
Afin que tes bêtes puissent paître et se rafraichir
Ces 30 bornes à faire, ces voleurs de betails et leurs kalachnikovs qui tirent sans réflechir
Imagine Madagascar et ses montagnes d’ordures
Imagine tes 8 ans et tes pieds sans chaussures
Imagine tes mains dans les détritus
Pour un bout de pain mais tu t’y habitues
Imagine Paris et son péripherique
Quelque part sous un pont pas loin du trafic
Imagine toi sous un duvet salle
Luttant contre le froid, luttant contre la dalle
Maintenant imagines-toi, dans ta voiture, bloqué dans les embouteillages
L’homme sort lentement de sa couverture, l’homme a ton visage
Dis-moi ce que tu ressens, le regardes-tu autrement ?
Avant d’insulter la vie réfléchit dorénavent
Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
Tu verras comme ta vie est belle
Soprano :
Karl, imagine toi sans la musique, la santé abimée par les 3-8
Les allés-retour aux ASSEDIC
Blacko :
Saïd imagine toi sans cette réussite, en galère, juste le SMIC
Prisonnier de cette tour de brique
Soprano :
Moi j’ai quoi sans Snip’a
Moi sans psy4 et ces bons moments qu’d’autres ne connaissent pas
Blacko :
Imagine un peu nos vies sans tout ça
C'est pour ça, remercions Dieu pour tout ça
Pardon pour les jours où j'me plains
Les jours où je ne vois que moi, mon nez et pas plus loin
Soprano :
Pardon pour toutes ces fois où j'ai grossi mes problèmes
Pour toutes ces fois où j'ai fais tourner le monde sur moi même
Blacko :
Ferme tes yeux juste une seconde
Vois la misère du monde
Et ta place dans tous ça
Soprano :
Prenons conscience de la chance qu'on a
Et tu verras peut être que la vie est belle
Blacko : Blackoooo , Sopranooooo
Refrain (Blacko) (X2) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
(Soprano)Tu verras comme ta vie est belle
segunda-feira, 3 de março de 2008
Mails em Cadeia
Sabem aqueles mails a que muita gente acha piada? Pois, ninguém gosta deles! Apesar de serem extremamente irritantes pois acabamos por recebe-los umas 7 vezes por dia vindo de contactos diferentes, somos amaldiçoados no final.
No outro dia recebi um mail que achei hilariante, que serve completamente com incentivo a deixarem de mandar esses e-mails. Uma grande resposta. Obrigado à Rita, que foi quem me o mandou!
"Quero agradecer a todos os meus amigos que me reencaminharam e-mails em cadeia.
Graças à vossa indulgência e bondade:
- Parei de beber Coca Cola desde que descobri que serve para retirar manchas da sanita.
- Parei de ir ao cinema, com medo de me sentar numa agulha infectada com SIDA.
- Cheiro a refogado, desde que parei de usar desodorizantes porque causam cancro.
- Não deixo o meu carro em parques de estacionamento nem em qualquer outro sítio, com medo de alguém me drogar com uma amostra de perfume e tentar assaltar-me.
- Também deixei de atender o telefone, com medo de me pedirem para marcar um número estúpido e receber uma conta de telefone infernal com chamadas para o Uganda, Kinchasa, Singapura e Cebolais de Cima.
- Também parei de beber da lata, com medo de ficar doente das fezes e urina de rato. - Quando vou a festas, não olho para mulher nenhuma, por mais boa que seja, com medo que ela me leve para um hotel, me drogue e me retire os rins para vender no mercado negro.
- Também doei todas as minhas poupanças à conta duma AmyBruce, uma menina doente que está a morrer no hospital desde 1993, e que desde então tem 8 anos de idade.
- Quanto ao meu telemóvel Nokia grátis, nunca chegou, assim como as passagens que tinha ganho para umas férias pagas na Disneylandia.
NOTA IMPORTANTE: - Se não enviares este e-mail a pelo menos 1247 pessoas nospróximos10segundos, um pássaro vai cagar na tua cabeça amanhã às 17:33. Muito e muito obrigado a Todos."
No outro dia recebi um mail que achei hilariante, que serve completamente com incentivo a deixarem de mandar esses e-mails. Uma grande resposta. Obrigado à Rita, que foi quem me o mandou!
"Quero agradecer a todos os meus amigos que me reencaminharam e-mails em cadeia.
Graças à vossa indulgência e bondade:
- Parei de beber Coca Cola desde que descobri que serve para retirar manchas da sanita.
- Parei de ir ao cinema, com medo de me sentar numa agulha infectada com SIDA.
- Cheiro a refogado, desde que parei de usar desodorizantes porque causam cancro.
- Não deixo o meu carro em parques de estacionamento nem em qualquer outro sítio, com medo de alguém me drogar com uma amostra de perfume e tentar assaltar-me.
- Também deixei de atender o telefone, com medo de me pedirem para marcar um número estúpido e receber uma conta de telefone infernal com chamadas para o Uganda, Kinchasa, Singapura e Cebolais de Cima.
- Também parei de beber da lata, com medo de ficar doente das fezes e urina de rato. - Quando vou a festas, não olho para mulher nenhuma, por mais boa que seja, com medo que ela me leve para um hotel, me drogue e me retire os rins para vender no mercado negro.
- Também doei todas as minhas poupanças à conta duma AmyBruce, uma menina doente que está a morrer no hospital desde 1993, e que desde então tem 8 anos de idade.
- Quanto ao meu telemóvel Nokia grátis, nunca chegou, assim como as passagens que tinha ganho para umas férias pagas na Disneylandia.
NOTA IMPORTANTE: - Se não enviares este e-mail a pelo menos 1247 pessoas nospróximos10segundos, um pássaro vai cagar na tua cabeça amanhã às 17:33. Muito e muito obrigado a Todos."
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